Une fois que vous avez reçu les devis, il reste à les éplucher. Rappelons qu’un contrat de syndic comprend deux volets: les prestations courantes et les tâches particulières. Les premières font l’objet d’une tarification forfaitaire annuelle, généralement exprimée en nombre de lots principaux.
Une affaire défraie la chronique, et c’est l’occasion pour les parlementaires de déposer des projets de loi visant à amender les textes existants… Avec plus ou moins d’à-propos.
Alors que paraissent les textes (voir Journal Officiel) mettant en œuvre l’obligation d’installer des répartiteurs de chaleur - censés permettre de mesurer la quantité de chaleur fournie et d’individualiser les frais de chauffage collectif dans les immeubles équipés d’un chauffage fournissant pour chacun des appartements une quantité de chaleur réglable par l’occupant -, un débat s’ouvre sur son applicabilité. Selon l’ARC et l’UFC-que Choisir, les répartiteurs de frais de chaleur sont inadéquats. Seuls les compteurs d’énergie thermique permettraient de calculer la «quantité de chaleur fournie». Et ils ne peuvent être installés que sur 20 % du parc au plus. Faux, se hérisse Laurent Sireix, président du syndicat de la mesure: «Il n’y a aucun doute sur l’éligibilité des répartiteurs de frais de chaleur. Le laboratoire national de métrologie les classe lui-même dans la catégorie des “instruments permettant de déterminer la quantité de chaleur fournie pour le chauffage des locaux”.» En attendant, Les copropriétaires ont, pour les immeubles les plus performants, jusqu’au 31 décembre 2019 pour satisfaire à cette obligation. En cas de non-conformité, les amendes pourront aller jusqu’à 1 500 € par an et par logement. Nous reviendrons prochainement en détail sur ce sujet très controversé.
Un an et demi après l’entrée en vigueur de l’encadrement des loyers à Paris, l’Observatoire des loyers de l’agglomération parisienne (Olap) a conclu que la mesure avait eu «des effets réels mais limités» sur le marché en 2015. «Limités», tout d’abord parce que le dispositif, mis en place au début de l’été, n’a concerné que 34 700 logements au cours de ses six premiers mois d’existence, soit 9 % à peine du parc parisien. Mais pas uniquement. Dans son étude, rendue publique fin décembre, l’Olap montre aussi que la mesure n’a pas fait baisser la proportion de baux conclus au-dessus des plafonds de loyers, celle-ci étant de 73 % au premier, comme au second semestre de 2015. Est-ce à dire que l’encadrement n’a servi à rien? Pas exactement: l’étude révèle également que «l’encadrement a contribué à réduire l’ampleur des dépassements d’environ 40 € par mois en moyenne». Le complément de loyer (1) moyen était de 186 € au second semestre, soit 16 % du loyer total moyen, hors charges. En creux, l’étude montre donc que la mesure n’a pas destructuré le marché, comme ses opposants ont pu le laisser croire. Des opposants d’ailleurs dont les recours devant le Conseil d’État (2) ont tous été rejetés. À noter que le ministère du Logement a confirmé que l’encadrement des loyers serait étendu aux communes de Lille, Hellemmes et Lomme à compter du 1er février 2017, puis à 412 communes de l’agglomération parisienne courant 2018. (1) L’Olap n’est pas en mesure d’estimer la part des baux qui incluent effectivement un complément de loyer justifié par le bailleur et se contente d’observer la proportion de contrats conclus au-dessus des plafonds. (2) la Chambre nationale des propriétaires, la Fnaim nationale et sa chambre du Grand Paris, l’Unis et le SNPI
Le formulaire Cerfa n° 12808*07 permet au propriétaire bailleur de signer une convention à loyer maîtisé avec l'agence nationale de l'habitat (Anah) dans le secteur locatif social ou très social.
Le propriétaire d'un logement qui le loue ou souhaite le louer, peut bénéficier d'une subvention de l'Anah pour financer certains travaux de rénovation dans ce logement. Le propriétaire bailleur peut également bénéficier d'une déduction fiscale sur les revenus locatifs s'il s'engage à louer son bien à des ménages modestes et que le loyer ne dépasse pas un certain plafond. Ces deux avantages (subvention de l'Anah pour travaux et déduction fiscale) sont cumulables.
En tant que propriétaire occupant il est possible de faire une demande de subvention à l'agence nationale de l'habitat (Anah) pour financer des travaux dans votre habitation principale. Vous pouvez obtenir, dans un délai rapide, le versement d’une avance pour accélérer le commencement des travaux.
En tant que propriétaire bailleur il est possible de faire une demande de subvention à l'agence nationale de l'habitat (Anah) pour financer une partie des travaux d'amélioration du logement que vous louez ou souhaitez louer. Pour connaître les conditions d'obtention de cette subvention, vous pouvez consulter notre fiche consacrée aux aides de l'Anah destinées au propriétaire bailleur.
Un propriétaire occupant peut faire une demande de subvention à l'agence nationale de l'habitat (Anah) pour financer une partie des travaux d'amélioration de son logement. Pour connaître les conditions d'obtention de cette subvention, vous pouvez consulter notre fiche consacrée aux subventions de l'Anah destinées au propriétaire occupant.
Le formulaire Cerfa n°12807*06 permet au propriétaire bailleur de signer une convention à loyer maîtrisée dans le secteur locatif intermédiaire. Grâce à la conclusion de cette convention avec l'Anah, le propriétaire bailleur va pourvoir bénéficier d'une réduction fiscale sur ses revenus locatifs. En contrepartie il devra louver son bien immobilier pendant 6 ans à des personnes ne dépassant pas un certain niveau de ressources et selon un loyer plafonné défini suivant sa situation géographique. Pour connaître le détail des plafonds (ressources et loyer) et de la déduction fiscale applicable au secteur locatif intermédiaire, consultez notre indice Dispositif Louer abordable (Cosse ancien).
L'Anah peut subventionner certains travaux réalisés sur les parties communes ou équipements communs de la copropriété. L'aide de l'Anah peut être demandée par le syndicat des copropriétaires pour le compte de la copropriété. Pour connaître les condition d'attribution de cette subvention, consultez notre fiche Anah: l'aide à la copropriété.
L'agence nationale de l'habitat (Anah) peut subventionner les travaux réalisés sur un logement destiné à la location. Pour connaître les conditions d'obtention de cette subvention, vous pouvez consulter notre fiche consacrée aux aides de l'Anah destinées au propriétaire bailleur. Toutefois l'attribution de cette subvention est subordonnée à la conclusion d'une convention à loyer maîtrisé (intermédiaire, social ou très social) avec l'Anah. Par cette convention , le propriétaire bailleur s'engage pendant 9 ans à louer le logement à un locataire modeste et à ne pas dépasser un certain plafond de loyer fixé par l'Anah.
L'Anah peut subventionner certains travaux réalisés sur les parties communes et les équipements communs d'une copropriété. Cette subvention peut être attribuée soit au syndicat des copropriétaires (subvention collective) soit individuellement au copropriétaire qui en fait la demande pour l'aider à financer sa quote-part de travaux (pour des travaux d’économies d’énergie réalisés sur les parties communes, par exemple).
Par cette convention signée avec l'Anah , le propriétaire bailleur s'engage pendant 6 ans à louer son logement à des ménages ne dépassant pas un plafond de ressources et à percevoir un loyer soumis à un plafond dépendant de sa situation géographique. En contrepartie de cet engagement, le propriétaire bailleur bénéficiera d'une réduction fiscale sur les revenus locatifs dégagés par la location de son bien. Pour connaître le détail des plafonds (ressources et loyer) et de la déduction fiscale applicable au secteur locatif intermédiaire, consultez notre indice Dispositif Louer abordable (Cosse ancien).
Le propriétaire occupant qui demande une subvention de l'Anah pour financer une partie des travaux d'amélioration de sa résidence principale doit s'engager à habiter dans ce logement pendant une durée de 6 ans.
Il est possible de demander à titre individuel une aide de l'Anah pour financer les travaux réalisés sur les parties communes de sa copropriété. Cette subvention peut être accordée, à certaines conditions, aux copropriétaires occupants ainsi qu'aux copropriétaires bailleurs. Mais les copropriétaires ont également la possibilite de déposer ensemble une demande groupée. Cette procédure permet de simplifier la procédure de demande grâce à la constitution d'un dossier unique. Voici les formulaires nécessaires à la constitution de cette demande groupée.
En tant que propriétaire occupant de votre logement vous pouvez, sous certains conditions, bénéficier de subventions de l’Agence nationale de l’habitat (Anah) pour financer une partie des travaux de rénovation ou de réhabilitation de votre logement. Voici les conditions à remplir afin de pouvoir bénéficier d'une telle subvention.
Un propriétaire bailleur peut faire une demande de subvention à l'agence nationale de l'habitat (Anah) pour financer des travaux dans le logement destiné à la location. Il est possible d'obtenir le versement d’un acompte pour accélérer le commencement des travaux.
À quelques semaines de la rentrée universitaire 2017-2018, les étudiants sont en quête d'un logement, une recherche difficile pour la majorité d'entre eux. Préparer son dossier au préalable et connaître ses droits fait gagner un temps précieux.
Les étudiants consacrent au logement un budget moyen de 583 €. On constate de fortes disparités entre la région parisienne et la province. Le loyer d'un studio à Paris s'élève à 824 € contre 323 € à Poitiers.
Les colocataires versent mensuellement, en moyenne, 460 € pour leur loyer. Il existe pourtant de fortes disparités sur le plan national. En déboursant 656 € par mois, c'est évidemment à Paris que le loyer est le plus élevé. À l'opposé, un budget de 291 € suffit à Limoges.
Depuis le 1er juillet 2017, le panneau d'affichage du permis de construire doit contenir le nom de l'architecte et la date d'affichage du permis en mairie, en plus des mentions standard.
Délai d'envoi du décompte de remboursement anticipé interminable, accords initiaux non respectés... Certaines banques n'hésitent pas à freiner les renégociations des prêts immobiliers de leur client, selon une enquête de l'UFC-Que Choisir. Elles vont même jusqu'à facturer des frais en toute illégalité.
Il est particulièrement judicieux de faire les travaux de rénovation énergétique en été: pose de fenêtre double vitrage, isolation des combles et installation d'une pompe à chaleur air-air. Outre les économies d'énergie, ces travaux permettent de diminuer son impôt sur le revenu.
Prendre une location de vacances pour une semaine coûte, environ 3 % de plus que l'an dernier, avec un prix moyen à 485 €. Les vacanciers recherchent le soleil, ce sont les régions Provence-Alpes-Côte-D'azur et Languedoc-Roussillon, ainsi que l'Espagne, qui sont les plus demandées.
À compter du 1er octobre 2017, la Ville de Paris met en place un téléservice permettant aux propriétaires d'enregistrer leur meublé de tourisme. Pour leur laisser un peu de temps, l'enregistrement ne sera, en pratique, obligatoire qu'à partir du 1er décembre 2017.
Le logement de fonction, c'est-à-dire celui fourni à titre d'accessoire au contrat de travail, n'est pas soumis aux règles du bail d'habitation. Un supplément de loyer ne peut donc être réclamé au salarié qui occupe les locaux
En début de séance, tous les copropriétaires présents (ou leurs représentants) à l’assemblée générale…
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